2021 – Dans l’affaire de l’enlèvement de ma fille, la complicité entre juge, avocat et procureurs de Nantes et de la Roche sur Yon révélée par la folie soudaine de mon avocat Olivier Foucher : analyse

I – Maître Olivier Foucher, un ami

Je connais Me Foucher depuis longtemps. Il a plaidé pour moi, souvent avec succès, contre mon frère et ma sœur. Il connait l’histoire illustre de ma famille et la respecte. C’est lui qui m’a accompagné en 2013 à Pontoise en voiture rencontrer la juge des tutelles pour la prétendue confrontation avec mon frère et ma sœurC’est lui qui a forcé le parquet de la Roche sur Yon a me remettre la copie de l’enquête suite à mon dépôt de plainte pour vols contre mon frère et ma sœur. C’est lui qui a relancé le procureur quand il a découvert que celui-ci avait retiré du dossier les auditions des voleurs.

Quand je lui ai proposé de se charger de mon appel auprès de la cour de Versailles contre le jugement inique de Pontoise, il s’est déclaré heureux de prendre mon affaire se déclarant confiant alors que les autres avocats consultés me déclaraient perdant sans s’expliquer. Il déteste le système, comme moi. Il est parfaitement d’accord avec moi sur la corruption des « élites ».

Cet été, après notre premier entretien de travail, il m’a conduit chez lui pour me montrer sa magnifique maison surplombant une toute aussi magnifique plage vendéenne déserte et inondée de soleil, puis il m’a finalement invité à déjeuner servi par sa femme absolument ravissante. J’en garde un souvenir ému.

II …qui devient fou

Dans le cadre de l‘appel sur le jugement de Pontoise que je lui ai confié, cet homme qui a toujours eu confiance en moi exige soudain que je le paie d’avance. Il n’a pas encore commencé le travail qu’il m’adresse sa facture représentant les 2/3 de ses honoraires et ne s’arrête pas là : il me relance sans cesse car je fais de la résistance, désagréablement surpris par cette exigence qui le laisserait libre de faire ensuite n’importe quoi. Je finis par lui demander amicalement s’il a des problèmes d’argent, dans ce cas je l’aiderai bien entendu. Il rit, répondant « pas du tout ». J’ai donc fini par le payer. Et, à l’instant, le voilà aux abonnés absents ! Plus de nouvelles de lui, il ne me répond plus au téléphone. Quand il me prend par erreur, il s’excuse et raccroche, refusant de m’écouter.

Pour l’aider dans ses conclusions, je lui suggère de lire le chapitre 1 de l’article de mon blog dans lequel j’expose un arrêt de cassation correspondant exactement à mon cas qui me sauve et condamne mes adversaires. Il me répond sèchement : non, je ne lis jamais les blogs ! Adieu à sa politesse habituelle, il est devenu incontrôlable. On dirait qu’il veut que je perde.

Et en effet, il remet ses conclusions aux adversaires sans me les faire lire ! Je le lui reproche et lui en montre les insuffisances. Alors il envenime encore notre relation : il transmet ses nouvelles conclusions, à peine modifiées, à la cour d’appel de Versailles (par RPVA) sans me les faire lire ! Désormais, impossible de revenir en arrière.

Comme je découvre qu’il a oublié de présenter ma proposition de partages, il me répond « votre notaire m’a dit de ne pas inclure cette proposition dans mes conclusions, alors je lui obéis ». Sauf que mon notaire, un ami incapable de mentir que je connais bien, me déclare que jamais il ne s’est permis de donner un conseil juridique à un avocat… Olivier Foucher, donc, ment.

Quand je lis les écritures qu’il a transmises à la cour d’appel, je constate qu’il s’est contenté de rajouter deux pages simplistes à ses vieilles conclusions. Il n’a produit aucun travail. Là encore, je me dis que s’il voulait me faire perdre il n’agirait pas autrement. En conséquence, je refuse de lui payer le solde de ses honoraires qu’il me réclame « sous huitaine faute de quoi il me laissera tomber » sauf s’il accepte un rendez-vous au cours duquel il me démontrera que ses erreurs en appel et dans l’affaire de l’enlèvement sont rattrapables. Apparemment, il ne peut me le démontrer et laisse tomber. Lui qui tenait tant à percevoir la totalité de ses honoraires pour ensuite me berner, c’est raté.

J’attends désormais le verdict de la cour d’appel de Versailles, la trouille au ventre. Les juges vont-ils confirmer la position du tribunal de Pontoise établissant que les vols et le recel successoral commis par mon frère et ma sœur ne sont pas un délit contrairement à la loi ? Espérons que mon signalement au CSM contre les trois magistrats de Pontoise sera porté à leur connaissance et que, au cas où ils ne seraient pas intègres, ils le deviennent !

Me Foucher me présente ensuite une nouvelle facture, bizarroïde, accompagnée de ce commentaire menaçant : « A défaut de règlement desdites factures à réception des présentes, je me décharge de votre affaire et n’effectuerai plus aucune diligence, mais également me décharge de toute responsabilité à cet égard ». Or cette facture concerne notre déplacement à Pontoise pour rencontrer la juge des tutelles Marie-Jeanne Seichel en 2013 ! Soit il y a huit ans. Déjà payée. Je le lui signale. Aucune réponse. La facture tombe dans l’oubli mais notre relation aussi. Je constate qu’il ne travaille plus pour moi.

Quand je lui transmets pour information ma requête auprès du Conseil Supérieur de la Magistrature dans laquelle je signale les exactions entre autres de la procureur Emmanuelle Gatta-Lepissier, voilà sa réponse :

Ça n’a pas de sens et c’est maladroit de signaler la corruption au Conseil Supérieure de la Magistrature ?!

La réaction du CSM à mes 16 signalements prouve le contraire. Me Foucher tente visiblement de protéger ses complices magistrats.

Pour votre curiosité, voici son faux d’avocat, d’« auxiliaire de justice » :

III – …qui plaide contre l’intérêt de ma fille, contraint et forcé : démonstration

Mon ex-épouse m’a assigné devant le juge des affaires familiales de la Roche sur Yon pour faire ordonner que notre fille Diane réside chez elle et que je dois arrêter de percevoir sa pension alimentaire. Elle sait comme tout le monde désormais (et le Conseil Supérieur de la Magistrature en particulier…) que ce tribunal est corrompu et jugera en sa faveur. Mais sa démarche est une énorme erreur ! Depuis un an et demi je n’avais jamais pu me retrouver face à un juge, corrompu ou non, pour réclamer justice à cause de l’obstruction des procureurs de Nantes et la Roche sur Yon refusant d’instruire mes plaintes, mes ennemis fidèles, corrompus, anonymes, occultes et ancestraux, voyez mes articles sur Éric Calutcelui-cicelui-làcet autre, et la tristement célèbre Emmanuelle Gatta-Lepissier à qui je consacre un nouvel article chaque fois qu’elle m’agresse. Tous se doutent que si cette audience a lieu et que ma fille est présente elle va se jeter dans mes bras et refuser de repartir à Nantes chez sa mère.

Bizarrement, alors que nous sommes fâchés, Me Foucher accepte de se charger de cette affaire et va même jusqu’à me le confirmer par écrit, ce qui me rassure. A tort car en fait il est en train d’exécuter un plan contre moi.

En effet, voilà comment je vois les choses, en toute logique (mon domaine), dans le royaume de la corruption judiciaire qui commence à me devenir familier :

Mes ennemis fidèles se rendent compte qu’ils ne peuvent empêcher que je sois présent au tribunal pour défendre ma fille et que, si elle est là, elle déclarera qu’elle veut habiter chez moi. Ils sont dans la m…(ouise) ! Pas question de me faire ce cadeau. Car le bonheur de ma fille chez ces fonctionnaires n’entre pas dans l’équation, « n’y voyez rien de personnel ».

Comment s’en sortir, se demandent-ils ? Il faudrait qu’elle ne soit pas là. Ils tiennent la solution : faire une pression terrible sur Olivier Foucher qui, comme tout avocat, ne peut gagner ses procès et vivre que si les juges sont d’accord. Contraint et forcé, le pauvre accepte de plaider cette affaire et de la falsifier pour me faire perdreTâche qu’il va mener on l’a vu, dans la douleur. D’où sa folie soudaine car il agit contre la déontologie, contre sa sympathie, contre ses convictions et sa volonté.

Il sait que je ne le paierai pas dans ces conditions. Alors il exige immédiatement la quasi-totalité de ses honoraires. Connaissant sa détermination soudaine face au fric vu l’affaire précédente (l’appel à Versailles) et ignorant son projet caché, je m’exécute. Je lui donne comme instruction de profiter de cette convocation inespérée au tribunal pour réclamer la présence de ma fille (que je n’ai pas vue depuis plus d’un an et dont je n’ai aucune nouvelle) afin qu’elle puisse dire chez qui elle veut habiter.

Je lui écris le 15 septembre 2021 : « Vous avez compris que je tiens absolument à ne pas tenter d’annuler l’audience, même si c’est possible. Je veux demander au juge qu’il exige la présence de Diane, majeure, et non de sa mère qui la manipule, comme cela je pourrai enfin la voirIl faudrait qu’elle rencontre un psychologue (elle est handicapée et en abus de faiblesse visible) pour dire chez qui elle veut vivre. » En fait, je vais le découvrir plus tard, elle a rencontré… la police de Nantes ! Qui ne m’en a rien dit.

Quand Olivier Foucher me remet ses écritures, je découvre qu’il y plaide l’incompétence du tribunal donc l’annulation du procès ! Soit exactement l’inverse de ce que je lui demande. Il réclame l’annulation du procès qui m’aurait permis de rencontrer ma fille séquestrée chez sa mère depuis un an et demi et de l’entendre dire chez qui elle veut habiter.

Mais c’est exactement ce que veut Me Foucher…

Mécontent, je lui adresse ce mail (il est injoignable au téléphone) : « je vous rappelle ce que je vous ai demandé plusieurs fois : je veux profiter de cette convocation pour signaler au JAF que c’est à ma fille Diane, majeure, d’être présente au tribunal pour déclarer qu’elle vit désormais chez sa mère et ne veut plus voir son père comme le prétend Mme Thieullent qui l’a kidnappée. » Alors, que fait-il ? Il transmet ses odieuses conclusions au tribunalsans modification. Comme je me fâche, il me fait au téléphone cette réponse stupéfiante en raccrochant : « c’est le privilège de l’avocat de transmettre au tribunal des conclusions contraires aux instructions de son  client » ! Je ne le reconnais plus.

Pour couronner le tout, j’oublie la date du procès et donc ne m’y rend pas ! Si Diane avait été là, j’aurais été désespéré. Mais « heureusement » mes adversaires avaient veillé à ce qu’elle soit absente. mon avocat ne me la rappelle pas contrairement à son engagement signé inscrit dans l’article 4 de sa convention d’honoraires. Et lui qui ne m’appelle jamais, il me téléphone pour m’aviser que l’audience a eu lieu le matin-même, s’étonnant de mon absence avec une jubilation discrète. Sachant qu’il n’était pas là non plus étant représenté par un postulant car son cabinet est à Nantes et le tribunal en Vendée. Peut-être a-t-il trouvé le courage de m’appeller pour comprendre quel calcul extraordinaire m’avait amené à éviter l’occasion de voir ma fille et pour pouvoir l’expliquer à ses complices.

Je n’ai donc pu dire au juge qu’il ne pouvait prendre aucune décision sans entendre ma fille, la première concernée par le choix de son lieu de vie et qu’il était de son devoir d’obéir au sacro-principe du contradictoire qui impose aux magistrats d’écouter les parties en présence avant de statuer.

Mais ce juge est un fonctionnaire pas très intelligent ! Il se veut « responsable mais pas coupable », cette tare qui mène à l’irresponsabilité de l’Administration française. Alors, il refuse l’incompétence proposée par Me Foucher qui avait l’avantage d’annuler le procès, de laisser ma fille chez elle et de me renvoyer dans mes buts. Du coup, il est obligé de truander en statuant en l’absence de la personne concernée. Mais quelle importance pour un magistrat corrompu de violer le principe du contradictoire voulu par la loi ? Il décide que ma fille, 31 ans, vit chez sa mère, sans la consulter. La forfaiture étant indiscutable, surtout de la part d’un juge de la Roche sur Yon, elle m’amène automatiquement à faire appel et à aller jusqu’à la cassation s’il le faut, en passant par la case signalement auprès du Conseil Supérieur de la Magistrature (c’est fait).

C‘est alors que le mardi 30 novembre 2021 intervient un coup de théâtre : ma fille revient à la maison ! Elle a fui le domicile de sa mère, bien décidée à ne jamais y revenir. Le plan de mes ennemis fidèles est tombé à l’eau.

Me Olivier Foucher doit se réjouir sous cape…

Leave a comment